Qui est la cause de tous nos maux? La femme!!! |
Un éléphanteau nous démontre ce qu’est l’ IMPOSSIBILITÉ APPRISE dont les femmes ont été victimes pendant très longtemps…
Nous avons vu dans : « Une boutade
1 » que, en ce qui concerne les animaux, la cause est entendue : les
femelles ne sont pas des mâles comme les autres, même si pour les primates et
les mammifères, les femelles se débrouillent pour avoir quelques avantages…parce
qu’elles sont astucieuses et se jouent souvent des mâles.
Les femmes sont inférieures par la taille, le poids,
donc par la force physique, la force
musculaire.
Elles sont handicapées par les règles (sous
certaines latitudes dès 8 ou 9 ans). Les grossesses, souvent difficiles, les
accouchements parfois périlleux et même mortels. En France, où la maternité est
très surveillée, on a noté récemment plusieurs cas de décès. Les allaitements
peuvent être un problème dans la mesure où la femme travaille à l’extérieur.
Du point de vue de leur santé en général, j’ai
appris récemment de source sûre (une mutuelle de remboursement (santé en général)
que la très grande majorité des médicaments étaient testés sur des animaux MÂLES,
même ceux qui concernent des maladies
typiquement féminines. Les testeurs humains sont pratiquement toujours des HOMMES.
En conclusion, les médicaments sont faits pour les hommes. Ce sont des faits
avérés. D’où ce résultat évident, les femmes réagissent moins bien aux
médicaments.
Pour ce qui est des études, les filles suivent des
voies qui leur sont suggérées par les métiers qu’elles exerceront plus tard. Et
là, nous tombons dans les préjugés : les rôles en rapport avec la
maternité : elles sont institutrices (éducation des enfants), infirmières,
puéricultrices. On estime , par exemple, qu’elles sont plus douées au départ
pour la littérature que pour les mathématiques. Pourquoi ?
Ce qui est plus gênant, c’est que les femmes
elles-mêmes se laissent enfermer dans ces schémas. Et là, intervient ce qu’un
jeune homme Idriss Aberkane, bardé de
diplômes en tous genres, vient d’écrire un livre : « TRAITE de
NEUROSAGESSE pour changer l’école ». L’émerveillement, l’enthousiasme sont
des moteurs plus importants que
l’envie d’être le premier de la classe. Et surtout, il parle de :
L’IMPUISSANCE APPRISE. Un exemple concret explique ce que cela veut dire mieux qu’un discours.
Un éléphanteau, qui plus tard sera éduqué par un
cornac, est d’abord attaché à un arbre
avec une très grosse corde. Il ne peut la briser. Il reste prisonnier. Au bout
d’un certain temps, progressivement, j’imagine, on remplace la corde par une
cordelette toute mince. L’éléphant pourrait la casser aisément. Il n’essaie
même pas.
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